"Tempo
è galant'uomo"
Figaro
dans
Le Mariage de Figaro
de Beaumarchais (Acte III, scène 5)
Les
pages de ces romans comme autant de fractales recombinables jusqu'en
décembre 2014 suivant un mouvement brownien ("working
in progress")
seront mises en ligne au fur et à mesure des envois de propositions
de phrases, de paragraphes, de pages, d'articles et/ou de chapitres
des romanciers internautes orchestrées par les différents comités
éditoriaux afin de représenter des courbes de mosaïques
multi-générationnelles en "cercles/fictions"
:
"Amant
alterna Camenae",
Virgile
("Les
Muses aiment les chants alternés")
Du
héros au personnage suivant le fil d'une intrigue : 1ère
étape au Collège
Une
remise en cause des notions d'intrigue et de personnages ? 2ème
étape au Lycée
Un
retour aux notions d'intrigue et de personnages ? 3ème
étape à partir de 18 ans
http://tempoesempervive.blogspot.com
Le
making of de ces trois romans collectifs expérimentaux :
Entreprendre
pour apprendre "En lisant, en écrivant" :
de la lecture à l'écriture.
Le roman des romans :
compte-rendu méta-romanesque et méta-discursif de ces odyssées
polyphoniques internautiques
O O
Question : une mise en abyme est-elle nécessaire pour être heureux ?
"Heureux avec ma femme au fond de l'Andalousie", dit Figaro (III,5)
et vous, où êtes-vous "heureux" ?
"une
scène de théâtre est un des lieux du monde où je suis heureux"
O O
"On ne pense que par images, si tu veux être philosophe écris des romans"
Albert Camus
"On ne pense que par images, si tu veux être philosophe écris des romans"
Albert Camus
Vous pouvez participer à tout moment à l'écriture de ce roman.
Envoyez vos articles, phrases, paragraphes, pages, articles et/ou chapitres et story-board
à cette adresse :
à cette adresse :
O O
Conçue
donc comme une installation contemporaine destinée à favoriser un
dialogue générationnel et intergénérationnel, cette odyssée
romanesque polyphonique inter-nautique multi-générationnelle
expérimentale en perspective croisée avec une enquête
anthropologique sur la place du sujet dans l'histoire de la
représentation et de la communication à l'école du spectateur
aujourd'hui (cf. Rubriques Littérature
et société)
racontera l'histoire de romanciers en devenir d'aujourd'hui se posant
la question de savoir s'ils vont ou pas devenir romanciers
aujourd'hui, c'est-à-dire lire, écrire et penser leur époque à
partir du "temps
retrouvé" de
leur imaginaire suivant les voix d'une "échologie
du temps perdu retrouvé"
ouverte par Marcel Proust :
"C'est
l'époque qui lit à travers moi."
Roger
Planchon (metteur en scène)
Chaque romancier internaute mettra
en scène sa propre histoire à partir d'un personnage fictif double
de lui-même dans le cadre fictionnel qui lui correspond dans cette
constellation à 5 branches, associant, si possible, lecture et
écriture d'un spectacle comme d'un roman à l'école du spectateur
d'aujourd'hui.
A la
recherche du "temps retrouvé" d'une
esthétique indissociable d'une éthique contemporaine
multi-générationelle qui
permette de renouer avec les liens de causalité d'une pensée
magique et logique sur les axes diachroniques et synchroniques d'un
imaginaire à la fois personnel et collectif, de
"cercles/frictions" en
"cercles/fictions",
de cercles vicieux en cercles vertueux, de
"tour(s) d'écrou(s)" en
dé-"tour(s) d'écrou(s)",
cette aventure d'écriture romanesque de mises en scène d'une
subjectivité assumée proposée en 2006 dans le cadre scolaire d'un
projet Comenius sur internet http://recrearte.org
, rebondit d'années en années, après
bien des éclipses, pour représenter aujourd'hui une constellation à
cinq branches afin de continuer à s'écrire sur le pont des Arts
contre vents et marées parfois contraires, au gré de la "boussole
intérieure"
de chacun suivant l'expression de Bergson pour qui la joie est signe
de création, animée par "l'étincelle
motrice et joyeuse"
chère à Marcel Proust.
Le
pont des Arts : photos de Maxime en 2008 pour illustrer la rencontre
du personnage de roman avec l'art, dans sa ville, Paris.
"Vertige,
l'escalier magique" de
Léon Spilliaert (1918) : tableau choisi par Maxime en 2008 pour
illustrer son univers poétique
"On
ne pense que par images, si tu veux être philosophe, écris des
romans", Albert Camus